Le refus des italiens de sortir de leur régime d'Assemblee actuel est avant tout l'échec de Matteo Renzi qui avait sous-estimé la contestation vis à vis de son bilan et le rejet à l'encontre de sa personne.

Cependant, il ne faudrait pas y voir un vote de contestation frontale de l'Union européenne, tant les débats en italie portaient sur des sujets internes. Les italiens ont toutefois rejeté en bloc la politique d'austérité menée par son gouvernement, par exemple sa loi sur le droit du travail.

L'austérité prônée par plusieurs des candidats a la présidentielle en France est donc massivement rejetée par les peuples européens, et je prends acte que lorsque les citoyens sont consultés, par le biais d'un référendum qui se transforme en plébiscite, leur réponse est claire et sans équivoque.

C'est de cette façon que j'entends diriger le pays, en étant responsable vis a vis du peuple français.